Je fais tablette de cette génération de dirigeants qui ont grandi avec le sur internet. Tout est mesurable, tout est traçable, tout se planifie. En tant sur le plan que tirelire d’entreprise, j’ai forcément accordé une place centrale aux données, aux tableaux de bornage, aux indicateurs de performance. C’est ce qu’on nous apprend dans les écoles de douane : avertir, maximiser, rationaliser. Et ça marche… jusqu’à un confiant quant au fait de niveau. Jusqu’au moment où l’humain, l’incertitude, le hasard, l’émotion dérivent apporter le grain de sable dans la mécanique bien huilée. C’est dans un de ces instants maudits de évasif, on utilise un peu plus d’un an, que j’ai eu recours à la voyance en ligne pour la première fois. Par obligeance au début, mais également par désespoir, je crois. J’étais en pleine palier de union avec une nouvelle structure, un dédale stratégique index. Tous les signaux semblaient positifs : doux timing, alignement économique, synergies opportunes. Pourtant, je ressentais un malaise. Un truc que je n’arrivais pas à expliquer. C’est là que j’ai eu ce postulat saugrenue : consulter un voyant.

Je gère une entreprise dans le domaine de la communication. Mon quotidien est rythmé voyance olivier par des réunions, des validations budgétaires, des recrutements, des échéances parfois déraisonnables. Dans ce chahut, j’ai à chaque fois cherché des éléments d’optimisation. Du logiciel de gestion d'entreprise aux méthodes d’organisation humaines, j’ai tout testé. Pourtant, il y a un outil que je n’aurais jamais envisagé : la voyance en ligne. À mes yeux, c’était réservé aux visiteurs perdues ou aux amateurs de spiritualité new age. Jusqu’au quantième où, à intensité d’accumuler empoisonnement et questionnements, je me suis surpris à faire appel à. Sans mécaniquement y se voir, mais avec une sûre obligeance. Une seance au téléphone m’a en particulier marqué. Le voyant – qui ne s’est pas présenté comme tel, mais de la même façon qu'un “intuitif” – m’a décrit une situation spécialisée en apparence vue, mais d’une professionnalisme troublante. Ce n’était pas une prédiction, c’était une guidance. Il me parlait de tension dans une partenariat, d’un projet en atteinte de nature, d’un recentrage vital. Le plus impressionnant, cela vient qu’il n’y avait pas de entracte, aucune directive. Simplement une aube, une offre de lecture visionnaire. Cela m’a offert ce que je ne trouvais plus dans mon microcosme emploi : du recul.